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FESTIVAL DES MOTS

Frédéric Diefenthal, le 26 juillet à Contes…2 min read

Juil 17, 2013 2 min

Frédéric Diefenthal, le 26 juillet à Contes…2 min read

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Vendredi 26 juillet à 20h30 à Contes – Parc du verger La lecture Florilège de textes de son choix dont de larges passages de « C’est beau une ville la nuit » de Richard Bohringer.

C’est beau une ville la nuit n’est pas à proprement parler un roman autobiographique mais bien plutôt l’écriture d’une errance et d’une quête. « Une ballade, l’oeil et l’esprit grands ouverts au vif de la ville et au droit de la vie, une route de douleurs, de joies et finalement d’espérances. » Ce livre est un fragment d’itinéraires de l’homme Bohringer avant même que lesécrans renvoient cette image d’une « gueule » de cinéma et que celle-ci s’impose par la forte présence d’un comédien dont les valeurs personnelles ne se réduisent pas à sa profession et au narcissisme qu’elle entretient. Ouvert aux autres et amoureux de l’amitié, Richard Bohringer, grand lecteur de Cendrars, de Kerouac ou de London, sait donc que la raison même de l’écrivain est de mythifier la réalité de la vie, de dire vrai même dans l’imaginaire puisque « la réalité dans tout cela, ce sont les faits, les gens non pas tels qu’ils sont mais tels qu’on les vit. C’est la règle du jeu. La seule avec laquelle il est acceptable de jouer. »

Le lecteur

PHOTO-DIEFENTHAL©Gianni-Candido

Frédéric Diefenthal©Gianni Candido
Frédéric Diefenthal©Gianni Candido

Frédéric Diefenthal commence à prendre des cours de théâtre à la fin de son adolescence. Après avoir tourné dans plusieurs spots publicitaires, il obtient son premier rôle au cinéma dans La Totale de Claude Zidi en 1991. Il enchaîne alors les apparitions dans des téléfilms et films avant de s’illustrer en 1998 dans le premier volet de la saga Taxi qui le fera véritablement connaître du grand public. Alternant cinéma (Belphegor, le fantôme du Louvre en 2000 et L’incruste en 2003) et télévision (Clara Sheller en 2005), il joue également dans quelques pièces de théâtre comme L’important d’être constant d’Oscar Wilde, mise en scène de Pierre Laville entre 2006 et 2008 puis, plus récemment Le voyageur sans bagage de Jean Anouilh, mise en scène d’Alain Fromager et Gwendoline Hamon en 2013. La même année, il présente la série Paris, capitale du crime (20 arrondissements – 20 programmes en prime time), diffusée sur 13e Rue. Il publie également Paris, capitale du crime (Michel Lafon), en collaboration avec Pierre-Henri Moinet, scénariste et écrivain, chez Michel Lafon. En juin 2013 il est à l’affiche du dernier film de Jean-Pierre Mocky : Le renard jaune.